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Il vous aide dans votre diagnostic médical et le suivi de vos patients

Assistant intelligent pour suivre la santé de vos patients et leurs bien-être.

Solution pour vous assister et vous augmenter la qualité de vos compétences

PARTAGEZ + SIMPLEMENT

 Vos projets, documents, tâches, annonces, agenda…

COLLABOREZ + EFFICACEMENT

Avec vos collègues, membres, partenaires, clients et prospects…

LIBÉREZ + DE TEMPS POUR L'ESSENTIEL

Moins d’e-mails, moins de temps à chercher l’information…

OPINAKA eHEALTH, C'EST L'ESPACE DE TRAVAIL LE + ADAPTÉ À VOTRE ENTREPRISE

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Le Module fonctionnel ou le Service : TMS ?

Ici , je vais lister les articles que nous avons developpés dans le cadre de ce type de service :

Self-diagnostic clinique et l'auto-suivi de sa santé et son bien-être pour toute personne quelques soit sa situation

Le patient doit etre l’acteur principal de sa santé. Il doit disposer d’un assistant l’aidant a realiser ses pé-diagnostic a tout moment, de communiquer ses informations pour compléter son dossier et suivre son etat de santé. L’assistant ne peut remplacer le professionnel de la santé. Mais il est comme un complément indispensable, car les connaissances croissant de façon exponentielles, il serait dangereux de s’imaginer qu’un cerveau humain soit en mesure de tout savoir. 

Assurer la continuité de soins entre les différents professionnels de santé

(examens complentaires) Chaque startup développe son propre service ou produit dns une palteoforme indépendante répondant une problématique particuliere (identification des cancers, anamnèse, téléconsulation, etc.). Cela pose dans le futur des problemes d’integration pour la realisation des platefomes intégrées.: identificatiuon es pathologies dans des igimages mediacles, anamnère, metrre en relation des patients avec cdes medecins (teleconsulation deuxième avois, etc.)

pour tous les services d’innovation développés: différentes startups en intelligence artificielle pour différents projets indépendants

Un employer (entreprise, organisem, etc.) a la possibilité de créer un climat en sécurité de santé de ses collaborateurs (covid19, les grippes, les allergies, etc.)

Les employeurs ou les organismes qui organisent des evenenments peuvent rassuer tout  le monde en securité de santé. Cela permet a ces organismes d’offrir des disgnostics en collbaoration avec des prstataires de santé.

L’assistant intelligent propose un tableau de bord interactif et ludique definie par 3 axes pour suivre le deroulement de la consultation permettannt ainsi d’assister le professionnel durant la séance de consultation.

Assister les professionnels de sante dans leurs quotidien (ex. diagnostic clinique, le suivi thérapeutique, améliorer relation patient)

L’assistant intelligent propose un formulaire ludique et interactif pour capter les informations ou l’expertise métier afin de personnaliser et d’enrichir les informations concernant le patient ou l’assistant par de nouvelles regles. L’assistant créer des alerts en cas de manque d’information et aussi quand les contradictions ou des conflis entre informations sont presentes.

LA PROBLÉMATIQUE

Exemple médical de jardin à la française : le cabinet médical du futur, décrit dans Le Monde du 31 mars.2 A San Francisco, la start-up Forward a commencé à concevoir « un cabinet qui ressemble à un Apple Store ». Pour consigner chaque anamnèse, l’intelligence artificielle l’analyse à la place du médecin. Dès qu’une phrase type est prononcée, elle note le code du problème, l’enregistre, procède à un classement. A la fin ne compte que ce qui, dans le récit du patient, entre dans des catégories prédéfinies.

Problématique 1 : un assistant d’aide pour renforce relation patient

Tout médecin sait qu’un patient ne se contente pas de raconter objectivement son histoire. Il parle aussi dans les marges, les interstices, les non-dits, au moyen d’un langage verbal et non verbal. Il utilise des stratégies, conscientes ou non. Son but premier, souvent, consiste à faire alliance, donc à plaire à son médecin. Quitte à déformer son récit. Parfois, le patient masque des éléments importants, en raison de phobies, ou par crainte du coût du traitement, ou par simple envie de brouiller les pistes. Tout cela, le praticien essaie de le décoder, d’en faire son miel. Lui-même, d’ailleurs, donne au patient une image qui n’est pas simplement vraie, qui peut jouer avec une forme de mensonge, ou d’exagération. La puissance qu’il projette le dépasse, et il s’en sert. Dans de nombreux cas, le médecin sait qu’il ne sait pas, mais fait semblant de savoir. Parfois, il agit sans agir vraiment, jouant sur l’effet placebo. La prise en soins est un mélange de cet ensemble : de science, bien sûr, mais aussi de croyance de la part du patient, de séduction de la part du soignant, et d’un lien de confiance, de la part des deux.  

La réalité des patients excède ce qu’en disent les données digitalisées. Leur monde est aussi celui des émotions, de la relation, du besoin de compréhension, de la nécessité d’exister avec une histoire propre. Leurs besoins ne portent pas que sur la science, mais relèvent de choix, de valeurs, de sens. Dans ce cadre, le projets Opinaka Health cherche à renforcer la médecine avec cette humanité encombrante. Aidé par un assistant virtuel intelligent, le praticien peut dès lors « établir des diagnostics et former des plans d’action ».

 

Problématique 2 : Aider à améliorer les examens cliniques

Laennec se retournerait sans doute dans sa tombe s’il voyait à quel point notre génération a perdu le sens clinique. Qui sait encore palper un foie, alors qu’une échographie donnera des résultats bien plus fiables ? Or l’examen clinique va bien au delà : c’est grâce à ses mains et ses outils que le médecin prend en compte la souffrance du patient, qu’il la circonscrit, et qu’il lui donne au final une légitimité.

 

Le diagnostic repose sur trois éléments : l’anamnèse (recueil des évènements qui se sont succédés), l’examen clinique et les examens complémentaires. Si le diagnostic est souhaitable afin de mettre en route un traitement étiologique (traitement de la cause), il n’est pas forcément obligatoire. En effet, d’une part le médecin peut être amené à donner un traitement symptomatique (traitement des seuls symptômes), et d’autre part une décision peut être prise (hospitalisation du patient, ou explorations complémentaires, voire traitement d’épreuve) sans qu’un diagnostic ait été posé de façon formelle ou avec une certitude suffisante. Le diagnostic reste donc bien en cela « l’étape magique de la raison ».

L’examen clinique est un passage obligé dans la quête du diagnostic. Il participe de la recherche du diagnostic et apporte des éléments essentiels. Certains diagnostics peuvent être effectués sans qu’il soit besoin de pratiquer des examens complémentaires (par exemple la migraine, la grippe, la colique néphrétique, etc.). Mais pour la plupart, afin d’avoir une certitude,les diagnostics reposent sur les examens complémentaires, et sur eux seuls. Au point qu’un nombre croissant de médecins finissent par ne plus examiner leurs patients, confiant aux examens le soin de poser le diagnostic. Or le médecin reste profondément attaché à l’examen clinique. Ce paradoxe tient au fait que les enjeux ne sont pas ceux que l’on croit.

Les éléments recueillis

Un examen clinique complet doit explorer toutes les fonctions du corps, et passer de ce fait en revue tous les organes. Cette exploration pour être sérieusement effectuée nécessite au bas mot une demi-heure. Chaque portion du corps, chaque fonction, chaque organe accessible doit être examiné, à la fois avec les cinq sens du médecin, et avec les instruments dont il dispose.

Il existe 90 fonctions dans l’organisme (digestive, circulatoire, cardiaque, hépatique, parole, déglutition, grossesse, etc.), et autant d’organes (coeur, poumons, intestin grêle, thyroïde, utérus etc.), les fonctions et les organes étant reliés entre eux par des relations (par exemple : axe hypothalamo-hypophysosurrénalien, cycle entéro-hépatique, bloc coeur-poumon, etc.). La bonne santé dépend du maintien de l’harmonie que les organes entretiennent entre eux, et les fonctions entre elles. Les pathologies sont la conséquence d’un dysfonctionnement d’un ou plusieurs organes et/ou d’une ou plusieurs fonctions. Par exemple, une maladie aussi complexe que le diabète est dû au seul dysfonctionnement initial du pancréas dans sa seule fonction endocrine qui est de fabriquer de l’insuline. Cette seule dysfonction est responsable de problèmes en cascade qui vont toucher l’oeil, le coeur, les vaisseaux, les reins, etc. Le mauvais fonctionnement de chacun de ces organes va être à l’origine de manifestations ressentis par le patient qu’il va exprimer sous forme d’une plainte. Cette plainte, recueillie par le médecin va être formalisée par des symptômes encore appelés signes, qui ne sont que le témoin du dysfonctionnement des organes et donc du mauvais fonctionnement de l’organisme. La plainte est donc la partie émergée de l’iceberg, la recherche du diagnostic, donc de la pathologie, en étant la partie immergée,  comme on le voit dans le schéma [la maladie, un iceberg menaçant].

Le rôle de l’examen est donc d’inventorier le bon état des différentes fonctions du corps humain. Mais cet examen ne pouvant être à complet pour raison de temps, le médecin va, en fonction des données de l’anamnèse, limiter l’examen à l’exploration des fonctions qui lui permettront un diagnostic. En effet, s’il soupçonne une grippe, l’examen neurologique  ne lui apportera rien ; ou s’il soupçonne une gastroentérite, l’examen gynécologique ne lui sera d’aucune utilité.

Les éléments recueillis sont ce qu’on appelle des « signes physiques », c’est à dire des éléments de preuve directe ou indirecte du mauvais fonctionnement ou de l’atteinte d’un organe et/ou d’une fonction. Ces signes physiques, confrontés aux « signes fonctionnels », c’est à dire les symptômes recueillis par le médecin lors de l’écoute de la plainte du patient, vont permettre de suspecter un ou plusieurs diagnostics, dont l’établissement avec certitude nécessitera la mise en route, si nécessaire, d’examens complémentaires. C’est dire si a priori l’examen clinique est indispensable à l’établissement du diagnostic.

Les limites de l’examen clinique

  • La première limite tient au fait que les cinq sens du médecin, aidés par l’instrumentation courante (stéthoscope, otoscope, oxymètre, électrocardiogramme, tensiomètre, etc.) ne permettent d’affirmer qu’un nombre assez limité de diagnostics, lesquels nécessitent des examens complémentaires, qui eux feront le diagnostic.
  • La deuxième limite est que l’examen clinique est opérateur-dépendant : les médecins n’ont pas tous la même finesse clinique, soit parce qu’ils ne perçoivent pas les signes avec la même acuité, soit parce qu’ils ne sont pas suffisamment rompus à percevoir certains signes. L’examen neurologique ou l’examen gynécologique par exemple, requièrent des qualités qui ne peuvent s’obtenir qu’à force de répéter fréquemment les mêmes gestes. Le « sens clinique » que possèdent encore quelques vieux médecins s’est d’ailleurs érodé avec les générations, les études négligeant l’interrogatoire et l’examen clinique au profil de la prescription d’examens complémentaires.
  • La troisième limite est liée à l’évolution de la notion même de diagnostic : plus aucun médecin ne se risquerait à affirmer tel ou tel diagnostic nécessitant une intervention sans le recours aux examens complémentaires. En effet, ce qui était envisageable avant les années 60 (opérer par exemple de l’appendicite sur la seule conviction clinique) ne l’est plus de nos jours. Avant les années 60,  l’avis et l’examen du médecin étaient considérés comme un diagnostic entraînant une décision ; entre les années 60 et 90, l’avis et l’examen du médecin ne sont plus qu’une « suspicion diagnostic », le diagnostic indirect étant fait par les examens complémentaires (analyses) ; et depuis 90, l’avis et l’examen du médecin déclenchent des batteries d’examens à la recherche d’éléments de preuve directe constitués par l’imagerie médicale et l’anatomopathologie qui font le diagnostic.

On voit donc que ces limites font tomber l’examen clinique en désuétude. C’est pourtant pour d’autres raisons qui n’ont rien à voir avec le diagnostic, qui font que l’examen clinique est essentiel dans la relation médecin-patient et qui ont trait au toucher du corps.

Les vrais enjeux de l’examen clinique

  • Le premier enjeu est effectivement d’ordre diagnostic : même si l’examen clinique a une portée limité, certains diagnostics sont bel et bien portés seulement par l’examen clinique, et en aucun cas par les examens complémentaires sophistiqués (poussée tensionnelle, infarctus du myocarde, certaines pathologies respiratoires ou ORL, infections urinaires, etc.). Ce point dur qui légitime la portée de l’examen clinique est toutefois amoindri par le fait que des biocapteurs placés par des non-médecins permettent dores et déjà et permettront de plus en plus, d’effectuer dans le cadre de la télémédecine 3.0 des diagnostics à distance.
  • Le deuxième enjeu est en fait bien ailleurs : seul le médecin en tant qu’homme qui soigne un autre homme a le pouvoir de compassion que jamais n’aura la machine, même si on devait la programmer pour qu’elle délivre un discours compatissant. Il est évident que toucher l’épaule du patient, lui appliquer les mains sur le ventre, coller son visage contre le sien pour examiner ses tympans, sont des actes qui vont bien au-delà de la simple exploration diagnostique. Palper le corps du patient, c’est en prendre possession au sens symbolique, le considérer spatialement, circonscrire le champ de son action. Les patients le sentent bien qui se plaignent de ces médecins qui leur donnent des médicaments sans même les examiner. Françoise Loux [1], chargée de recherche au CNRS souligne cette nécessité du contact physique entre le soignant et le soigné dans le cadre de l’hôpital :  » […] la dimension spatiale devrait être prise en compte : les contacts corporels, l’abolition de la distance ou au contraire la soigneuse mise en scène de la visite du patron…Toute cela prend un sens exacerbé au moment de la maladie, quand le corps, comme autrefois, devient le centre de la vie. En tenir compte ne conduit-il pas à ce que le malade se reprenne en charge, ne considère plus son corps comme un objet manipulé par les autres et en même temps affectivement abandonné ? » . Examiner le corps du patient, c’est donner au « corps imaginaire » que le patient se représente (l’idée qu’il se fait de son foie, de ses artères, de son coeur, etc.) une réalité que ce dernier jugera en quelque sorte transcendante, c’est à dire un sens supérieur qui lui échappe mais qui prend ses racines dans son corps physique, et donc en, l’occurrence dans son corps souffrant. Par exemple le lien que le patient fait entre la colique néphrétique dont il souffre et le rein qui en est la cause n’est que purement conceptuel. Lorsque le médecin met en évidence une douleur précise sur le rein en le palpant, le patient fait alors le lien entre l’organe qu’il a imaginé et le rein que le médecin a palpé. Cette réalité nouvelle, c’est le « corps médicalisé », c’est à dire la réalité du corps vu par le médecin. Ne pas examiner le corps du patient, c’est refuser de donner à ce corps imaginaire une réalité médicale, et par conséquent nier une partie de la réalité de sa souffrance.
  • Le troisième enjeu est la préparation de l’acte thérapeutique.  Celui-ci repose sur des techniques, des médicaments, des interventions, mais aussi sur le fameux [effet placebo] évalué pour 30% par le corps médical dans l’efficacité thérapeutique. La prise en compte du corps du patient participe de l’idée que le patient se fait du pouvoir que le médecin a de le guérir. Ne plus examiner les patients, revient à diminuer l’efficacité du traitement mis en place.

Le jour où cette arme décisive héritée du fond des âges qu’est l’examen clinique, ne sera plus qu’un hochet inutile, la mascarade d’une relation empathique, et la perpétuation du rituel qu’il représente, ce jour-là les ponts seront définitivement coupés avec le patient pour qui il ne restera face aux machines désincarnées, que sa seule souffrance. Cette souffrance que le médecin ne saura plus prendre en charge car il aura renoncé à tout pouvoir de compassion.

Problématique 2 : Aider à améliorer la collaboration entre les différents praticiens (médecin, infirmiers, etc.) 

Un espace pivot doté avec une intlligence pour aider les différents intervenants 

Problématique 2 : Aider à améliorer les téléconsultations en collaboration avec 

Le but de ce projet est de travailler  à distance et de mani

Plusieurs solutions de téléconsultation sont apparus   : le téléphone,  des applications de vision (zoom) , et des cabines médicales etc. Chaque solution présente des avantages et des inconvénients ; les cabine médicales exigent aux patients de se déplacer par rapport aux deux premières solutions.  pourquoi pas une solution informatique collaborative  permettant d’un infirmier de disposer d’un équipement aidant les malades a renseigner les les informations demandé par le médecin a distance en cas le malade ne dispose de matérielle suffisant ou des problèmes d’utilisation etc.

Professions médicales : 1.1 Médecin 1.2 Chirurgien-dentiste 1.3 Sage-femme

2 Professions de la pharmacie et de la physique médicale  : 2.1 Pharmacien 2.2 Préparateur en pharmacie 2.3 Physicien médical

3 Des auxiliaires médicaux aux ambulanciers : 3.1 Infirmier 3.2 Masseur-kinésithérapeute 3.3 Le pédicure-podologue 3.4 Ergothérapeute 3.5 Psychomotricien 3.6 Orthophoniste 3.7 Orthoptiste 3.8 Manipulateur en électroradiologie médicale 3.9 Technicien de laboratoire médical 3.10 Audioprothésiste 3.11 Opticien-lunetier 3.12 Prothésistes et orthésistes 3.13 Diététicien 3.14 Aide-soignant 3.15 Auxiliaire de puériculture 3.16 Ambulancier 3.17 Assistant dentaire

4 Professions assimilées à la santé  : 4.1 Professions enregistrées au répertoire ADELI 4.1.1 Psychologie 4.1.2 Social

 

LA PROBLÉMATIQUE

Exemple médical de jardin à la française : le cabinet médical du futur, décrit dans Le Monde du 31 mars.2 A San Francisco, la start-up Forward a commencé à concevoir « un cabinet qui ressemble à un Apple Store ». Pour consigner chaque anamnèse, l’intelligence artificielle l’analyse à la place du médecin. Dès qu’une phrase type est prononcée, elle note le code du problème, l’enregistre, procède à un classement. A la fin ne compte que ce qui, dans le récit du patient, entre dans des catégories prédéfinies.

Problématique 1 : un assistant d’aide pour renforce relation patient

Tout médecin sait qu’un patient ne se contente pas de raconter objectivement son histoire. Il parle aussi dans les marges, les interstices, les non-dits, au moyen d’un langage verbal et non verbal. Il utilise des stratégies, conscientes ou non. Son but premier, souvent, consiste à faire alliance, donc à plaire à son médecin. Quitte à déformer son récit. Parfois, le patient masque des éléments importants, en raison de phobies, ou par crainte du coût du traitement, ou par simple envie de brouiller les pistes. Tout cela, le praticien essaie de le décoder, d’en faire son miel. Lui-même, d’ailleurs, donne au patient une image qui n’est pas simplement vraie, qui peut jouer avec une forme de mensonge, ou d’exagération. La puissance qu’il projette le dépasse, et il s’en sert. Dans de nombreux cas, le médecin sait qu’il ne sait pas, mais fait semblant de savoir. Parfois, il agit sans agir vraiment, jouant sur l’effet placebo. La prise en soins est un mélange de cet ensemble : de science, bien sûr, mais aussi de croyance de la part du patient, de séduction de la part du soignant, et d’un lien de confiance, de la part des deux.  

La réalité des patients excède ce qu’en disent les données digitalisées. Leur monde est aussi celui des émotions, de la relation, du besoin de compréhension, de la nécessité d’exister avec une histoire propre. Leurs besoins ne portent pas que sur la science, mais relèvent de choix, de valeurs, de sens. Dans ce cadre, le projets Opinaka Health cherche à renforcer la médecine avec cette humanité encombrante. Aidé par un assistant virtuel intelligent, le praticien peut dès lors « établir des diagnostics et former des plans d’action ».

 

Problématique 2 : Aider à améliorer les examens cliniques

Laennec se retournerait sans doute dans sa tombe s’il voyait à quel point notre génération a perdu le sens clinique. Qui sait encore palper un foie, alors qu’une échographie donnera des résultats bien plus fiables ? Or l’examen clinique va bien au delà : c’est grâce à ses mains et ses outils que le médecin prend en compte la souffrance du patient, qu’il la circonscrit, et qu’il lui donne au final une légitimité.

 

Le diagnostic repose sur trois éléments : l’anamnèse (recueil des évènements qui se sont succédés), l’examen clinique et les examens complémentaires. Si le diagnostic est souhaitable afin de mettre en route un traitement étiologique (traitement de la cause), il n’est pas forcément obligatoire. En effet, d’une part le médecin peut être amené à donner un traitement symptomatique (traitement des seuls symptômes), et d’autre part une décision peut être prise (hospitalisation du patient, ou explorations complémentaires, voire traitement d’épreuve) sans qu’un diagnostic ait été posé de façon formelle ou avec une certitude suffisante. Le diagnostic reste donc bien en cela « l’étape magique de la raison ».

L’examen clinique est un passage obligé dans la quête du diagnostic. Il participe de la recherche du diagnostic et apporte des éléments essentiels. Certains diagnostics peuvent être effectués sans qu’il soit besoin de pratiquer des examens complémentaires (par exemple la migraine, la grippe, la colique néphrétique, etc.). Mais pour la plupart, afin d’avoir une certitude,les diagnostics reposent sur les examens complémentaires, et sur eux seuls. Au point qu’un nombre croissant de médecins finissent par ne plus examiner leurs patients, confiant aux examens le soin de poser le diagnostic. Or le médecin reste profondément attaché à l’examen clinique. Ce paradoxe tient au fait que les enjeux ne sont pas ceux que l’on croit.

Les éléments recueillis

Un examen clinique complet doit explorer toutes les fonctions du corps, et passer de ce fait en revue tous les organes. Cette exploration pour être sérieusement effectuée nécessite au bas mot une demi-heure. Chaque portion du corps, chaque fonction, chaque organe accessible doit être examiné, à la fois avec les cinq sens du médecin, et avec les instruments dont il dispose.

Il existe 90 fonctions dans l’organisme (digestive, circulatoire, cardiaque, hépatique, parole, déglutition, grossesse, etc.), et autant d’organes (coeur, poumons, intestin grêle, thyroïde, utérus etc.), les fonctions et les organes étant reliés entre eux par des relations (par exemple : axe hypothalamo-hypophysosurrénalien, cycle entéro-hépatique, bloc coeur-poumon, etc.). La bonne santé dépend du maintien de l’harmonie que les organes entretiennent entre eux, et les fonctions entre elles. Les pathologies sont la conséquence d’un dysfonctionnement d’un ou plusieurs organes et/ou d’une ou plusieurs fonctions. Par exemple, une maladie aussi complexe que le diabète est dû au seul dysfonctionnement initial du pancréas dans sa seule fonction endocrine qui est de fabriquer de l’insuline. Cette seule dysfonction est responsable de problèmes en cascade qui vont toucher l’oeil, le coeur, les vaisseaux, les reins, etc. Le mauvais fonctionnement de chacun de ces organes va être à l’origine de manifestations ressentis par le patient qu’il va exprimer sous forme d’une plainte. Cette plainte, recueillie par le médecin va être formalisée par des symptômes encore appelés signes, qui ne sont que le témoin du dysfonctionnement des organes et donc du mauvais fonctionnement de l’organisme. La plainte est donc la partie émergée de l’iceberg, la recherche du diagnostic, donc de la pathologie, en étant la partie immergée,  comme on le voit dans le schéma [la maladie, un iceberg menaçant].

Le rôle de l’examen est donc d’inventorier le bon état des différentes fonctions du corps humain. Mais cet examen ne pouvant être à complet pour raison de temps, le médecin va, en fonction des données de l’anamnèse, limiter l’examen à l’exploration des fonctions qui lui permettront un diagnostic. En effet, s’il soupçonne une grippe, l’examen neurologique  ne lui apportera rien ; ou s’il soupçonne une gastroentérite, l’examen gynécologique ne lui sera d’aucune utilité.

Les éléments recueillis sont ce qu’on appelle des « signes physiques », c’est à dire des éléments de preuve directe ou indirecte du mauvais fonctionnement ou de l’atteinte d’un organe et/ou d’une fonction. Ces signes physiques, confrontés aux « signes fonctionnels », c’est à dire les symptômes recueillis par le médecin lors de l’écoute de la plainte du patient, vont permettre de suspecter un ou plusieurs diagnostics, dont l’établissement avec certitude nécessitera la mise en route, si nécessaire, d’examens complémentaires. C’est dire si a priori l’examen clinique est indispensable à l’établissement du diagnostic.

Les limites de l’examen clinique

  • La première limite tient au fait que les cinq sens du médecin, aidés par l’instrumentation courante (stéthoscope, otoscope, oxymètre, électrocardiogramme, tensiomètre, etc.) ne permettent d’affirmer qu’un nombre assez limité de diagnostics, lesquels nécessitent des examens complémentaires, qui eux feront le diagnostic.
  • La deuxième limite est que l’examen clinique est opérateur-dépendant : les médecins n’ont pas tous la même finesse clinique, soit parce qu’ils ne perçoivent pas les signes avec la même acuité, soit parce qu’ils ne sont pas suffisamment rompus à percevoir certains signes. L’examen neurologique ou l’examen gynécologique par exemple, requièrent des qualités qui ne peuvent s’obtenir qu’à force de répéter fréquemment les mêmes gestes. Le « sens clinique » que possèdent encore quelques vieux médecins s’est d’ailleurs érodé avec les générations, les études négligeant l’interrogatoire et l’examen clinique au profil de la prescription d’examens complémentaires.
  • La troisième limite est liée à l’évolution de la notion même de diagnostic : plus aucun médecin ne se risquerait à affirmer tel ou tel diagnostic nécessitant une intervention sans le recours aux examens complémentaires. En effet, ce qui était envisageable avant les années 60 (opérer par exemple de l’appendicite sur la seule conviction clinique) ne l’est plus de nos jours. Avant les années 60,  l’avis et l’examen du médecin étaient considérés comme un diagnostic entraînant une décision ; entre les années 60 et 90, l’avis et l’examen du médecin ne sont plus qu’une « suspicion diagnostic », le diagnostic indirect étant fait par les examens complémentaires (analyses) ; et depuis 90, l’avis et l’examen du médecin déclenchent des batteries d’examens à la recherche d’éléments de preuve directe constitués par l’imagerie médicale et l’anatomopathologie qui font le diagnostic.

On voit donc que ces limites font tomber l’examen clinique en désuétude. C’est pourtant pour d’autres raisons qui n’ont rien à voir avec le diagnostic, qui font que l’examen clinique est essentiel dans la relation médecin-patient et qui ont trait au toucher du corps.

Les vrais enjeux de l’examen clinique

  • Le premier enjeu est effectivement d’ordre diagnostic : même si l’examen clinique a une portée limité, certains diagnostics sont bel et bien portés seulement par l’examen clinique, et en aucun cas par les examens complémentaires sophistiqués (poussée tensionnelle, infarctus du myocarde, certaines pathologies respiratoires ou ORL, infections urinaires, etc.). Ce point dur qui légitime la portée de l’examen clinique est toutefois amoindri par le fait que des biocapteurs placés par des non-médecins permettent dores et déjà et permettront de plus en plus, d’effectuer dans le cadre de la télémédecine 3.0 des diagnostics à distance.
  • Le deuxième enjeu est en fait bien ailleurs : seul le médecin en tant qu’homme qui soigne un autre homme a le pouvoir de compassion que jamais n’aura la machine, même si on devait la programmer pour qu’elle délivre un discours compatissant. Il est évident que toucher l’épaule du patient, lui appliquer les mains sur le ventre, coller son visage contre le sien pour examiner ses tympans, sont des actes qui vont bien au-delà de la simple exploration diagnostique. Palper le corps du patient, c’est en prendre possession au sens symbolique, le considérer spatialement, circonscrire le champ de son action. Les patients le sentent bien qui se plaignent de ces médecins qui leur donnent des médicaments sans même les examiner. Françoise Loux [1], chargée de recherche au CNRS souligne cette nécessité du contact physique entre le soignant et le soigné dans le cadre de l’hôpital :  » […] la dimension spatiale devrait être prise en compte : les contacts corporels, l’abolition de la distance ou au contraire la soigneuse mise en scène de la visite du patron…Toute cela prend un sens exacerbé au moment de la maladie, quand le corps, comme autrefois, devient le centre de la vie. En tenir compte ne conduit-il pas à ce que le malade se reprenne en charge, ne considère plus son corps comme un objet manipulé par les autres et en même temps affectivement abandonné ? » . Examiner le corps du patient, c’est donner au « corps imaginaire » que le patient se représente (l’idée qu’il se fait de son foie, de ses artères, de son coeur, etc.) une réalité que ce dernier jugera en quelque sorte transcendante, c’est à dire un sens supérieur qui lui échappe mais qui prend ses racines dans son corps physique, et donc en, l’occurrence dans son corps souffrant. Par exemple le lien que le patient fait entre la colique néphrétique dont il souffre et le rein qui en est la cause n’est que purement conceptuel. Lorsque le médecin met en évidence une douleur précise sur le rein en le palpant, le patient fait alors le lien entre l’organe qu’il a imaginé et le rein que le médecin a palpé. Cette réalité nouvelle, c’est le « corps médicalisé », c’est à dire la réalité du corps vu par le médecin. Ne pas examiner le corps du patient, c’est refuser de donner à ce corps imaginaire une réalité médicale, et par conséquent nier une partie de la réalité de sa souffrance.
  • Le troisième enjeu est la préparation de l’acte thérapeutique.  Celui-ci repose sur des techniques, des médicaments, des interventions, mais aussi sur le fameux [effet placebo] évalué pour 30% par le corps médical dans l’efficacité thérapeutique. La prise en compte du corps du patient participe de l’idée que le patient se fait du pouvoir que le médecin a de le guérir. Ne plus examiner les patients, revient à diminuer l’efficacité du traitement mis en place.

Le jour où cette arme décisive héritée du fond des âges qu’est l’examen clinique, ne sera plus qu’un hochet inutile, la mascarade d’une relation empathique, et la perpétuation du rituel qu’il représente, ce jour-là les ponts seront définitivement coupés avec le patient pour qui il ne restera face aux machines désincarnées, que sa seule souffrance. Cette souffrance que le médecin ne saura plus prendre en charge car il aura renoncé à tout pouvoir de compassion.

Problématique 2 : Aider à améliorer la collaboration entre les différents praticiens (médecin, infirmiers, etc.) 

Un espace pivot doté avec une intlligence pour aider les différents intervenants 

Problématique 2 : Aider à améliorer les téléconsultations en collaboration avec 

Le but de ce projet est de travailler  à distance et de mani

Plusieurs solutions de téléconsultation sont apparus   : le téléphone,  des applications de vision (zoom) , et des cabines médicales etc. Chaque solution présente des avantages et des inconvénients ; les cabine médicales exigent aux patients de se déplacer par rapport aux deux premières solutions.  pourquoi pas une solution informatique collaborative  permettant d’un infirmier de disposer d’un équipement aidant les malades a renseigner les les informations demandé par le médecin a distance en cas le malade ne dispose de matérielle suffisant ou des problèmes d’utilisation etc.

Professions médicales : 1.1 Médecin 1.2 Chirurgien-dentiste 1.3 Sage-femme

2 Professions de la pharmacie et de la physique médicale  : 2.1 Pharmacien 2.2 Préparateur en pharmacie 2.3 Physicien médical

3 Des auxiliaires médicaux aux ambulanciers : 3.1 Infirmier 3.2 Masseur-kinésithérapeute 3.3 Le pédicure-podologue 3.4 Ergothérapeute 3.5 Psychomotricien 3.6 Orthophoniste 3.7 Orthoptiste 3.8 Manipulateur en électroradiologie médicale 3.9 Technicien de laboratoire médical 3.10 Audioprothésiste 3.11 Opticien-lunetier 3.12 Prothésistes et orthésistes 3.13 Diététicien 3.14 Aide-soignant 3.15 Auxiliaire de puériculture 3.16 Ambulancier 3.17 Assistant dentaire

4 Professions assimilées à la santé  : 4.1 Professions enregistrées au répertoire ADELI 4.1.1 Psychologie 4.1.2 Social

 

LA PROBLÉMATIQUE

La virtualité a envahi notre monde. La médecine n’y échappe pas. Un médecin virtuel est -il possible ? Est-il souhaitable ? Et finalement pour quoi faire ?

Les robots ont quelque chose de fascinant. Ils hantent les romans de science fiction, ils alimentent nos fantasmes d’un monde meilleur ou à l’inverse du « meilleur des mondes ». Et nous sommes sans cesse partagés entre la curiosité de voir une machine nous dépasser et la crainte qu’elle nous supplante un jour. Au sein de la relation entre le médecin et le patient, le robot est un intrus, un personnage contre nature, et il serait absurde de vouloir l’y substituer à un médecin réel. Mais si on voit le robot comme un simple assistant du médecin réel, un peu comme le pilote automatique des avions, le concept de « médecin virtuel » peut être abordé avec une moindre répulsion. 

Le médecin réel

A force depuis 25 ans de me confronter aux médias électroniques et à leur intrusion dans la relation médecin-patient, je me suis sans cesse demandé quelles étaient les fonctions particulières de la pensée d’un médecin. Sommes-nous les scientifiques que nous prétendons être, ou les humanistes que nous cherchons à rester ? Ou bien un peu des deux ?

La science nous pousse sans cesse vers l’avant, elle tend à bousculer les principes éthiques, nous forçant sans cesse à réévaluer les limites. La relation avec le patient reste le seul point d’ancrage, même si nous devons concéder que le colloque autrefois singulier est devenu pluriel. Cela ne signe en rien sa mort, mais son simple déplacement. En effet, si l’on liste les axes de pensée du médecin, on peut en dénombrer huit (jusqu’à plus ample inventaire), sous la forme de questions ou de problématiques :

  • Y a t-il urgence ? C’est à dire, derrière tout problème de santé du patient, ne se cache t-il pas une urgence masquée ? C’est évidemment l’obsession des urgentistes, mais cela reste également  dans l’esprit de tout médecin même éloigné des urgences. Entre 250 et 400 diagnostics sont impliqués dans cette démarche selon la granularité que l’on applique à cette question. En d’autres termes un urgentiste ne peut raisonnablement avec ses seuls outils, évoquer qu’environ 400 diagnostics, et en pratique pas plus que 250.
  • Quel est le diagnostic ? Depuis que Claude Bernard a introduit la notion de physiopathologie, la question du diagnostic reste centrale dans l’esprit du médecin. La CIM 10 (Classification Internationale des Maladies- 10ème édition) fait état d’environ 15.000 pathologies pour 155.000 entrées ! A part des internistes exceptionnels, un cerveau humain ne peut prétendre tout retenir.
  • Quel est le résultat du traitement mis en place ? Derrière cette question se cache à la fois l’efficacité apparente du traitement, l’observance qui en a été faite par le patient, les étapes plus ou moins longues qui mènent au résultat et la nature de ce résultat (guérison, stabilisation, rémission, passage à la chronicité…).
  • Quels sont les risques qui menacent le patient, à la fois sur le court terme et le long terme ? Cette question s’applique lors de l’évaluation en urgence, mais aussi pour un diagnostic moins immédiat et lors du suivi du patient. Cette question s’applique surtout dans une optique de prévention personnalisée du patient, du type prévention 3.0.
  • Quelles sont les forces et les faiblesses du patient ? L’évaluation de cette problématique permet d’effectuer une démarche de prévention personnalisée, mais également de mieux connaître la personnalité du patient et sa complexité, tant au plan physique que psychique. Cette question et la précédente sont indispensables à résoudre pour mettre en place une politique de prévention individuelle du patient.
  • Comment se souvenir de toute l’histoire du patient, y compris dans les domaines qui ne sont pas du strict domaine médical, et comment les insérer dans une sorte de stratégie globale qui permette au médecin d’aider le patient à gérer son capital santé, et finalement de penser sa vie ? Cette fonction qu’on pourrait appeler « Mémoire et stratégie » s’acquiert sur le long terme, au long d’une relation suivie, transparente et avec une confiance réciproque. Sans cette confiance, le médecin ne peut jouer son rôle de guide.
  • Comment informer au mieux le patient ? C’est à dire être transparent en préservant l’humanité de la relation, expliquer en restant clair et juste, choisir les modes de communication en fonction de la réalité de la situation ? C’est à dire dispenser une approche encyclopédique vulgarisée, et choisir les mots et les images pour le dire.
  • Enfin, comment stocker avec intelligence tous les éléments de la vie du patient en conciliant respect du secret médical, transmissibilité et traçabilité de l’information, accessibilité du patient à un dossier compréhensible où lui-même puisse inscrire les éléments de sa propre vie ? C’est toute la problématique non encore résolue du DMP 3.0.

Toutes ces fonctions essentielles de la pensée du médecin doivent être exercées à la fois avec science et humanité. C’est l’une des difficultés du métier de médecin.

L’invasion du virtuel dans le réel

  • Le principe de départ est de considérer que pour qu’il y ait un médecin, il faut d’abord qu’il existe un patient. C’est l’homme malade qui va voir le médecin pour solliciter son savoir et obtenir la guérison. Le médecin est donc en aval du patient, à son service et pour son bien. C’est l’aspect curatif de la médecine.
  • Toutefois, si on considère l’aspect préventif de la médecine, cet ordre peut s’inverser, et c’est le médecin qui peut être en amont du patient afin d’éviter que celui-ci tombe malade ou que son état s’aggrave.
  • Si l’on franchit un pas de plus dans le domaine de la prévention, le médecin, sur l’ensemble de la vie du patient, doit être en mesure de le prendre en charge, depuis sa naissance jusqu’à sa mort. C’est le rôle si essentiel du médecin de famille. Il y a donc là une dimension presque stratégique, à la fois de mentor et de guide au plan sanitaire.
  • Les progrès considérables de la science, notamment en matière de procréation assistée, amènent le médecin à effectuer cette prise en charge dès la conception, et même avant la conception. Le médecin anticipe donc une stratégie préventive, voire curative, avant même que naisse la personne qu’il va devoir accompagner.
  • Et puis, avec les avancées scientifiques dans le domaine de la génétique, le médecin peut même entrer dans la médecine prédictive, qui lui permettra de jalonner à l’avance la vie de son patient, et de pouvoir intervenir grâce aux thérapies géniques sur ce qui semblait programmé de façon inéluctable.
  • Enfin, il ne faut pas négliger l’apport considérable des TIC, qui ont fait que la médecine 1.0 en devenant 2.0 est devenue participative (*), ce qui est un nouveau mode de virtualité.

Ce bref tableau des domaines d’action du médecin réel montre que depuis longtemps il est entré dans un certain domaine de virtualité, puisqu’il agit avant même que le patient n’existe. L’idée même de virtualité ne doit donc pas nous effrayer puisque nous y sommes déjà plongés depuis qu’existe la numérisation du vivant (imagerie médicale et endoscopies virtuelles, identification du génome, thérapie génique). La virtualité infiltre désormais la relation réelle médecin-patient. Il existe donc déjà une part de virtualité, en raison de la dématérialisation de la relation telle qu’elle se fait dans la télémédecine 1.0.

Le médecin virtuel

Le mot est provocateur car il associe un terme qui désigne un être humain avec un adjectif inquiétant. Mais quand on parle de « pilote automatique » auquel nous confions nos vies en traversant les airs, la démarche est la même. Le pilote automatique a t-il jamais remplacé le commandant de bord ? Il ne s’agit donc pas ici de chercher à substituer à un médecin réel et bien en chair et en intelligence, une sorte d’avatar souriant, un robot humanisé, prétendument capable de jouer un rôle de traitant et a fortiori de soignant. Il s’agit seulement d’envisager les différentes fonctions du médecin face à un patient et de l’aider à remplir au mieux son rôle grâce à un assistant virtuel qui lui tiendrait lieu de mémoire et d’outil d’aide à la décision, au diagnostic et à la prescription. Un tel médecin virtuel devrait posséder plusieurs « casquettes »:

  • Régulateur virtuel : un système expert d’aide à la décision en urgence, en mesure d’envisager les diagnostics possibles, de proposer la décision la mieux adaptée et la conduite à tenir la plus appropriée, en fonction du cas particulier de la personne. Un tel régulateur virtuel, embarqué dans une mallette de télémédecine pourrait alors, dans le cadre d’une délégation des tâches prévue par les décrets de la Loi HPST, devenir un « urgentiste virtuel », dans les zones de désertification médicale. Mais il pourrait aussi dans le cadre de la régulation médicale, aider le médecin à ne pas oublier une question importante.
  • Interniste virtuel : un système expert possédant la connaissance de toutes les pathologies, et informé en termes de symptomatologie, d’examens à effectuer pour aboutir au diagnostic, voire d’une gamme de protocoles thérapeutiques.
  • Généraliste virtuel : un système expert de suivi thérapeutique en mesure de suivre aussi bien un patient en post opératoire rentré précocement à domicile, que de suivre le protocole d’un traitement. De nombreuses pathologies, notamment en acncérologie sont déjà pourvues d’algorithmes de ce type qu’il faut rassembler et confronter pour les rendre cohérents entre eux.
  • Préventologue virtuel : un système expert de diagnostic de risque permettant d’évaluer d’un côté ce qui menace le patient à plus ou moins long terme, et d’un autre ses forces et ses faiblesses
  • Communiquant virtuel composé d’une encyclopédie vulgarisée à destination du patient afin de l’informer de manière générale et d’une interface de dialogue virtuel, véritable Interface Homme-Machine intelligente, en mesure de dialoguer avec le patient et de recueillir sans intervention d’un médecin des informations capables d’alimenter un DMP.
  • Un DMP intuitif, où le patient puisse entrer les éléments de son histoire avec ses mots à lui, sans la moindre connaissance médicale, que le médecin réel puisse valider rapidement et facilement au travers de son outil métier. Un tel DMP n’aurait d’utilité réelle pour le patient comme pour le médecin, que si un outil d’intelligence artificielle était en mesure de faire la synthèse de tout ce qui y a été stocké, et soit en mesure de proposer un éventail de stratégies préventives.

Aucun de ces outils ne pourra prétendre remplacer le médecin. Ils ne sont que des prothèses, des extensions optionnelles de son cerveau.

A quoi servirait un médecin virtuel ?

La liste des applications est importante :

  • Aide à la régulation des appels d’urgence, qui seraient qualifiés, géolocalisés, et quantifiés.
  • Un tel système dans une version grand public permettra de faire de l’épidémiologie en temps réel pour toutes les pathologies d’urgence,  tout en conservant l’anonymat du patient.
  • Dépistage de maladies de façon très précoce grâce aux petits signes avant-coureurs. Confrontés à des éléments de médecine prédictive on disposerait alors d’une véritable prévention personnalisée.
  • Traçabilité du patient au sein du système de soins
  • Aide au suivi, au diagnostic et à la prescription pour le médecin améliorant ainsi l’efficacité de la prescription
  • Suivi post-opératoire des patients renvoyés précocement à domicile, permettant ainsi de limiter les affections nosocomiales
  • Aide à la formation des médecins en alimentant des serious games.
  • Amélioration des comportements des patients en urgence, aide à l’automédication
  • Meilleure maîtrise économique par une diminution des coûts dus à une prescription plus ciblée et plus adaptée
  • Création d’un véritable DMP informé directement par le patient et validé par les professionnels de santé
  • Outil de recherche clinique et de sémiologie.
  • Etc.

Où en est-on ?

  • Est déjà opérationnelle et validée, la fonction de régulateur virtuel. Il ne remplace pas le régulateur, mais il l’aide à ne pas oublier la question importante qu’il peut oublier de poser à la suite de plusieurs heures de régulation.
  • Un début d’urgentiste virtuel sous la forme d’une mallette de télémédecine autonome est en cours de fabrication.
  • Les bases du préventologue virtuel sont posées et devraient voir le jour à horizon 1 an.
  • Interniste virtuel et généraliste virtuel sont des programmes très ambitieux qui nécessiteront au moins 3 ans de travail et des fonds importants, évalués à environ 15 M€.
  • Le communiquant virtuel possède déjà les briques principales. Il lui manque une surcouche d’intelligence artificielle qui nécessitera également au moins 1 an de travail.
  • Le DMP intuitif sera la clef de voûte des unités précédentes. Il n’est pas raisonnable de l’envisager avant un horizon 5 ans.

Que resterait-il au médecin réel ?

Évidemment, si l’on imagine opérationnelle à horizon 10 ans une telle machine, on peut se demander quel serait la place qui resterait au médecin réel. Et bon nombre d’entre eux s’interroge, voire s’offusquent, c’est inévitable. La réponse -qui n’en est pas une mais qui donne un simple éclairage- est de se demander si le pilote de l’Airbus A 380, assisté de son pilote automatique a perdu sa place face à ses glorieux ancêtres qu’étaient Ader, Blériot ou Guynemer ? Ce qui a changé, c’est la nature de son métier et la sécurité des passagers. On peut penser qu’il en sera pareil du médecin du futur, assisté par des machines qui augmenteront ses compétences et amélioreront l’état de santé de la population grâce à une prévention personnalisée.

Le médecin pourrait alors redevenir un soignant, récupérer en totalité son statut d’humaniste, retisser avec son patient une relation paisible et forte, entrer plus en profondeur avec son patient dans la relation thérapeutique, plus qu’il ne le fait actuellement par manque de temps, manque de rémunération pour le temps qu’il passe et manque de considération pour le métier formidable qu’il exerce. Ainsi pourrait-on alors redéfinir ce qu’est un acte médical remis à sa juste valeur et que réclament en vain les médecins depuis des années.

(*) : Le Pr Luc Montagnier parle d

Le suivi thérapeutique

Le suivi thérapeutique est la dernière phase de la relation médecin-patient, celle dont l’un comme l’autre espèrent qu’elle aboutira à la guérison.

Que s’est il passé auparavant ? La plainte a été recueillie, les symptômes identifiés, le diagnostic effectué et le traitement mis en place ! C’est un moment délicat pour le médecin, car, selon la façon dont la maladie évolue, le patient peut mesurer la pertinence de l’action que celui-ci a menée. Rien de pire pour le médecin que de voir revenir son patient avec cette phrase fatidique, « ça ne va pas mieux », ou pire, « ça s’aggrave ».

Le suivi selon le médecin

Il existe des schémas généraux d’évolution des maladies. Chacune d’entre elle possède son évolution propre, sa singularité, qui permet au médecin de prédire a priori les suites probables. Tant que la maladie du patient reste dans ce cadre évolutif, le médecin ne se sent pas remis en cause. Si le patient sort de ce cadre, le médecin est confronté à plusieurs questions :

  • Y a t-il une complication ? Et dans ce cas, cela reste t-il encore dans le cadre d’une évolution possible ? Par exemple, une brûlure qui ne guérit pas et qui va entraîner des cicatrisations inesthétiques ou entraînant une gène fonctionnelle.  Ou encore une maladie chronique qui par définition peut se compliquer.
    • Une réponse positive à cette question nécessite une adaptation du traitement, voire une modification de stratégie, et permet au médecin de rester dans le cadre normal du suivi thérapeutique pour lequel des protocoles sont fixés par les conférences de consensus. Le médecin utilise un raisonnement de type « algorithmique », c’est à dire du type :  » si… alors… et si/ou si … alors… ».
    • Par contre une réponse négative oblige le médecin à réanalyser la situation et à se poser d’autres questions.
  • Le traitement est-il adapté ? Par exemple une infection urinaire qui ne passe pas avec le traitement antibiotique. Il existe des schémas thérapeutiques très protocolisés qui permettent au médecin d’inscrire le suivi thérapeutique dans un cadre connu. Cela le rassure, et le patient aussi. Mais au long des consultations, il se peut que le problème persiste, voire s’aggrave. Le médecin fait alors généralement appel, à des investigations complémentaires et souvent à des avis de confrères plus spécialisés.
    • S’il passe la main à un confrère, cela témoigne, d’une certaine manière, d’un aveu d’impuissance, d’un manque de maîtrise de la situation ; mais en même temps c’est une démarche sage et responsable dans l’intérêt du patient. Le médecin peut la vivre comme une blessure narcissique, mais aussi comme une expérience enrichissante qui va accroitre sa connaissance et donc sa compétence. Ces deux sentiments sont confusément liés, que le médecin a parfois tendance à enfouir. C’est l’un des intérêts des groupes Balint qui permettent au médecin de revisiter l’histoire d’un patient avec d’autres confrères, dans une sorte de thérapie de groupe versus médecin.
    • S’il s’accroche et ne passe pas la main, il ne fait que repousser cette éventualité, et d’une certaine manière est condamné au succès, c’est à dire la guérison du patient ou du moins la stabilisation de la maladie. Dans le cas où l’état du patient ne s’améliore pas, le médecin finit tôt ou tard à se poser la question qui suit.
  • Le diagnostic initial est-il finalement le bon ? C’est ce qui taraude l’esprit de tout médecin. S’être trompé sur un diagnostic peut avoir des conséquences graves sur le patient, notamment en raison de la perte de chances. Sur ce point, les protocoles thérapeutiques sont relativement muets car ils envisagent par principe que le diagnostic était juste. Le médecin est alors confronté à un dilemme :
    • avouer à son patient qu’il pense s’être trompé de diagnostic : d’autant plus difficile à faire accepter si le médecin n’a pas su ou voulu passer la main à temps
    • passer la main à un spécialiste afin qu’il envisage le problème sous un autre angle
    • ou alors renvoyer le patient à sa plainte en lui disant qu’il ne peut plus rien pour lui. Ce choix signe généralement la fin de la relation  thérapeutique, et parfois de la relation tout court.

On peut jeter la pierre aux médecins, stigmatisant leurs erreurs, leurs entêtements, leur manque de courage ou de responsabilité. Nul n’est parfait et aucun médecin ne peut prétendre ne s’être jamais trompé. Mais ce serait oublier qu’à la différence du garagiste ou du plombier, le médecin s’attaque à réparer les désordres d’une machinerie incroyablement complexe qui est le corps et l’esprit humain.

C’est également oublier que la société dans son ensemble a conféré aux médecins le rôle de soigner la population et que celui-ci a l’obligation de moyens et non de résultats. La conception grandissante d’un « homme-machine«  et la recherche illusoire du risque zéro font oublier ce principe et accroissent inéluctablement  la [judiciarisation de la médecine].  On peut douter que cette dérive améliore la qualité du suivi thérapeutique, et par extension la qualité de la relation médecin-patient.

Le suivi selon le patient

Autant le médecin dispose d’outils de réflexion et d’action, notamment grâce à l’application de protocoles,autant pour le patient rien n’est tracé. L’entrée dans la maladie est la plongée plus ou moins brutale dans un monde inconnu et potentiellement effrayant. Avant que le patient ne dispose d’informations compréhensibles, ce qui ne remonte finalement que vers le milieu du XXème siècle, il était soumis au seul bon vouloir d’information du médecin. La transparence était peu de mise car le pouvoir du médecin et la force de l’effet placebo reposait sur le maintien du patient dans un certain mystère de ce qui allait se passer pour lui, et permettait donc au médecin de jouer l’indispensable carte de la confiance.

De nos jours,  surtout depuis les années 80 et a fortiori depuis internet, le patient a conquis une autonomie de compréhension qui le met -avec bonheur- dans une position bien moins démunie qu’il ne l’était auparavant. Désormais, le patient  très bien informé sur la pathologie désignée par le médecin, ce qui modifie considérablement la nature du suivi thérapeutique. La problématique du patient est centrée avant tout sur la notion de confiance. A chaque étape et aux différents nœuds de cette relation, notamment lors des différents moments de négociation, le patient se pose cette question de la confiance. Le suivi thérapeutique n’y échappe pas,  la confiance acquise pouvant à tout moment être remise en cause : finalement ai-je confiance dans le médecin que je consulte ?

  • Oui, sinon pourquoi serais-je là face à lui ?
  • Oui, jusqu’à preuve du contraire, car ce médecin je ne l’ai pas choisi (mon médecin m’a adressé à lui, c’est un médecin d’urgence ou hospitalier que je ne connais pas, c’est la première fois que je consulte ce médecin, etc.)
  • Oui, mais.. : c’est mon médecin, je le connais, mais mon expérience passée avec lui me fait rester sur mes gardes.
  • Non mais… : autrement dit, je n’ai pas d’autre choix que de lui faire confiance.
  • Non, et finalement qu’est-ce que je fais là ? Le patient se trouve alors confronté aux raisons pour lesquelles il n’a pas ou plus confiance.

Si la confiance n’est pas là, la qualité et les chances de succès du suivi thérapeutique sont alors fortement hypothéquées. Ne reste plus qu’à espérer que la « bonne nature » aboutisse à la guérison.  .

Mais tant que la confiance est là, même si elle est minime, son fil ténu reste le garant d’une chance donnée à la relation. Le patient est alors aux aguets de tout ce qui va lui donner des raisons d’espérer une issue heureuse. L’observance du traitement, son efficacité, la docilité plus ou moins grande avec laquelle le patient va se soumettre aux examens parfois contraignants ou douloureux témoignent de cette confiance. Le médecin, par force de l’habitude, ne mesure pas suffisamment à cet instant la portée de cette acceptation : il lui semble naturel que le patient en passe par ses prescriptions, mais il oublie un peu vite que ce n’est pas lui qui va les subir. Il ne le mesure véritablement que le jour où lui-même passe par les mêmes affres lorsqu’il devient patient à son tour. Tout compte alors pour le patient :

  • la qualité de l’écoute
  • la volonté d’explication
  • le degré d’empathie
  • la confirmation du diagnostic évoqué initialement par le médecin
  • la « taille de l’ordonnance » : ni trop longue, ni trop courte
  • l’efficacité apparente du traitement
  • l’histoire de la relation entre le patient et son médecin
  • la réputation du médecin
  • la justesse de ses honoraires
  • les informations glanées sur le web
  • Etc.

Finalement

Les enjeux du suivi thérapeutique, mêmes s’ils sont communs entre le patient et le médecin, ne passent pas par les mêmes chemins, ni par les mêmes ressentis.

  • Le médecin suit un chemin tout tracé alors que le patient entre dans une nébulleuse parsemée de zones d’ombres et de lumière, avec au bout l’espoir de la fin du tunnel.
  • Le médecin n’a pas la même conception de la guérison que le patient et peut estimer un patient guéri là où celui-ci estimera que ce n’est pas le cas.
  • L’observance souhaitée par le médecin se heurte parfois au degré de liberté légitime voulu par le patient dans la gestion de sa maladie.
  • La confiance dont le patient a besoin repose bien plus sur des critères subjectifs mais essentiels, que sur des critères scientifiques et médicaux. Cela confirme s’il était encore nécessaire que la médecine est Art dont l’un des outils est la science.

Un dernier mot sur ce nouvel acteur qui s’imisce dans la relation médecin patient : le web. L’introduction du web 2.0 dans la relation médecin-patient a modifié considérablement le suivi thérapeutique, le médecin n’étant plus le seul pilote de cette phase de la relation. Un patient bien informé sera plus observant, améliorera la connaissance du médecin et facilitera sa tâche. Un patient mal informé risque d’utiliser à mauvais escient son espace de liberté et finalement de compliquer la tâche du médecin qui y ressentira les effets néfastes du web 2.0. L’avènement du web 3.0 et plus largement de la médecine 3.0 devrait permettre de reconsolider cette phase importante du suivi thérapeutique dans la relation médecin patient .

Les différents points abordés du modèle économqie de Opinaka-eHealth ?

Nous présentoins danns cette section les points importants que nous avons developpés pour le modèle economique du projet Opinaka-eHealth.

Dialogue – Une plateforme virtuelle de soins pour améliorer le…

Dialogue est fière de partager sa nouvelle vidéo résumant les bienfaits de notre plateforme santé pour les entreprises. En moins de deux minutes, voyez comment une plateforme virtuelle peut offrir des soins de santé et des avantages bien réels pour votre organisation et vos employés!

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Pourquoi choisir Opinaka-eHealth ?

Problématique 1 : un assistant d’aide pour renforce relation patient

Tout médecin sait qu’un patient ne se contente pas de raconter objectivement son histoire. Il parle aussi dans les marges, les interstices, les non-dits, au moyen d’un langage verbal et non verbal. Il utilise des stratégies, conscientes ou non. Son but premier, souvent, consiste à faire alliance, donc à plaire à son médecin. Quitte à déformer son récit. Parfois, le patient masque des éléments importants, en raison de phobies, ou par crainte du coût du traitement, ou par simple envie de brouiller les pistes. Tout cela, le praticien essaie de le décoder, d’en faire son miel. Lui-même, d’ailleurs, donne au patient une image qui n’est pas simplement vraie, qui peut jouer avec une forme de mensonge, ou d’exagération. La puissance qu’il projette le dépasse, et il s’en sert. Dans de nombreux cas, le médecin sait qu’il ne sait pas, mais fait semblant de savoir. Parfois, il agit sans agir vraiment, jouant sur l’effet placebo. La prise en soins est un mélange de cet ensemble : de science, bien sûr, mais aussi de croyance de la part du patient, de séduction de la part du soignant, et d’un lien de confiance, de la part des deux.

La réalité des patients excède ce qu’en disent les données digitalisées. Leur monde est aussi celui des émotions, de la relation, du besoin de compréhension, de la nécessité d’exister avec une histoire propre. Leurs besoins ne portent pas que sur la science, mais relèvent de choix, de valeurs, de sens. Dans ce cadre, le projets Opinaka Health cherche à renforcer la médecine avec cette humanité encombrante. Aidé par un assistant virtuel intelligent, le praticien peut dès lors « établir des diagnostics et former des plans d’action ».

 

Problématique 2 : Aider à améliorer les examens cliniques

C’est grâce à ses mains et ses outils que le médecin prend en compte la souffrance du patient, qu’il la circonscrit, et qu’il lui donne au final une légitimité. Le diagnostic repose sur trois éléments : l’anamnèse (recueil des évènements qui se sont succédés), l’examen clinique et les examens complémentaires. Si le diagnostic est souhaitable afin de mettre en route un traitement étiologique (traitement de la cause), il n’est pas forcément obligatoire. En effet, d’une part le médecin peut être amené à donner un traitement symptomatique (traitement des seuls symptômes), et d’autre part une décision peut être prise (hospitalisation du patient, ou explorations complémentaires, voire traitement d’épreuve) sans qu’un diagnostic ait été posé de façon formelle ou avec une certitude suffisante. Le diagnostic reste donc bien en cela « l’étape magique de la raison ».

L’examen clinique est un passage obligé dans la quête du diagnostic. Il participe de la recherche du diagnostic et apporte des éléments essentiels. Certains diagnostics peuvent être effectués sans qu’il soit besoin de pratiquer des examens complémentaires (par exemple la migraine, la grippe, la colique néphrétique, etc.). Mais pour la plupart, afin d’avoir une certitude,les diagnostics reposent sur les examens complémentaires, et sur eux seuls. Au point qu’un nombre croissant de médecins finissent par ne plus examiner leurs patients, confiant aux examens le soin de poser le diagnostic. Or le médecin reste profondément attaché à l’examen clinique. Ce paradoxe tient au fait que les enjeux ne sont pas ceux que l’on croit.

Les éléments recueillis

Un examen clinique complet doit explorer toutes les fonctions du corps, et passer de ce fait en revue tous les organes. Cette exploration pour être sérieusement effectuée nécessite au bas mot une demi-heure. Chaque portion du corps, chaque fonction, chaque organe accessible doit être examiné, à la fois avec les cinq sens du médecin, et avec les instruments dont il dispose.

Il existe 90 fonctions dans l’organisme (digestive, circulatoire, cardiaque, hépatique, parole, déglutition, grossesse, etc.), et autant d’organes (coeur, poumons, intestin grêle, thyroïde, utérus etc.), les fonctions et les organes étant reliés entre eux par des relations (par exemple : axe hypothalamo-hypophysosurrénalien, cycle entéro-hépatique, bloc coeur-poumon, etc.). La bonne santé dépend du maintien de l’harmonie que les organes entretiennent entre eux, et les fonctions entre elles. Les pathologies sont la conséquence d’un dysfonctionnement d’un ou plusieurs organes et/ou d’une ou plusieurs fonctions. Par exemple, une maladie aussi complexe que le diabète est dû au seul dysfonctionnement initial du pancréas dans sa seule fonction endocrine qui est de fabriquer de l’insuline. Cette seule dysfonction est responsable de problèmes en cascade qui vont toucher l’oeil, le coeur, les vaisseaux, les reins, etc. Le mauvais fonctionnement de chacun de ces organes va être à l’origine de manifestations ressentis par le patient qu’il va exprimer sous forme d’une plainte. Cette plainte, recueillie par le médecin va être formalisée par des symptômes encore appelés signes, qui ne sont que le témoin du dysfonctionnement des organes et donc du mauvais fonctionnement de l’organisme. La plainte est donc la partie émergée de l’iceberg, la recherche du diagnostic, donc de la pathologie, en étant la partie immergée,  comme on le voit dans le schéma [la maladie, un iceberg menaçant].

Le rôle de l’examen est donc d’inventorier le bon état des différentes fonctions du corps humain. Mais cet examen ne pouvant être à complet pour raison de temps, le médecin va, en fonction des données de l’anamnèse, limiter l’examen à l’exploration des fonctions qui lui permettront un diagnostic. En effet, s’il soupçonne une grippe, l’examen neurologique  ne lui apportera rien ; ou s’il soupçonne une gastroentérite, l’examen gynécologique ne lui sera d’aucune utilité.

Les éléments recueillis sont ce qu’on appelle des « signes physiques », c’est à dire des éléments de preuve directe ou indirecte du mauvais fonctionnement ou de l’atteinte d’un organe et/ou d’une fonction. Ces signes physiques, confrontés aux « signes fonctionnels », c’est à dire les symptômes recueillis par le médecin lors de l’écoute de la plainte du patient, vont permettre de suspecter un ou plusieurs diagnostics, dont l’établissement avec certitude nécessitera la mise en route, si nécessaire, d’examens complémentaires. C’est dire si a priori l’examen clinique est indispensable à l’établissement du diagnostic.

Les limites de l’examen clinique

  • La première limite tient au fait que les cinq sens du médecin, aidés par l’instrumentation courante (stéthoscope, otoscope, oxymètre, électrocardiogramme, tensiomètre, etc.) ne permettent d’affirmer qu’un nombre assez limité de diagnostics, lesquels nécessitent des examens complémentaires, qui eux feront le diagnostic.
  • La deuxième limite est que l’examen clinique est opérateur-dépendant : les médecins n’ont pas tous la même finesse clinique, soit parce qu’ils ne perçoivent pas les signes avec la même acuité, soit parce qu’ils ne sont pas suffisamment rompus à percevoir certains signes. L’examen neurologique ou l’examen gynécologique par exemple, requièrent des qualités qui ne peuvent s’obtenir qu’à force de répéter fréquemment les mêmes gestes. Le « sens clinique » que possèdent encore quelques vieux médecins s’est d’ailleurs érodé avec les générations, les études négligeant l’interrogatoire et l’examen clinique au profil de la prescription d’examens complémentaires.
  • La troisième limite est liée à l’évolution de la notion même de diagnostic : plus aucun médecin ne se risquerait à affirmer tel ou tel diagnostic nécessitant une intervention sans le recours aux examens complémentaires. En effet, ce qui était envisageable avant les années 60 (opérer par exemple de l’appendicite sur la seule conviction clinique) ne l’est plus de nos jours. Avant les années 60,  l’avis et l’examen du médecin étaient considérés comme un diagnostic entraînant une décision ; entre les années 60 et 90, l’avis et l’examen du médecin ne sont plus qu’une « suspicion diagnostic », le diagnostic indirect étant fait par les examens complémentaires (analyses) ; et depuis 90, l’avis et l’examen du médecin déclenchent des batteries d’examens à la recherche d’éléments de preuve directe constitués par l’imagerie médicale et l’anatomopathologie qui font le diagnostic.

On voit donc que ces limites font tomber l’examen clinique en désuétude. C’est pourtant pour d’autres raisons qui n’ont rien à voir avec le diagnostic, qui font que l’examen clinique est essentiel dans la relation médecin-patient et qui ont trait au toucher du corps.

Les vrais enjeux de l’examen clinique

  • Le premier enjeu est effectivement d’ordre diagnostic : même si l’examen clinique a une portée limité, certains diagnostics sont bel et bien portés seulement par l’examen clinique, et en aucun cas par les examens complémentaires sophistiqués (poussée tensionnelle, infarctus du myocarde, certaines pathologies respiratoires ou ORL, infections urinaires, etc.). Ce point dur qui légitime la portée de l’examen clinique est toutefois amoindri par le fait que des biocapteurs placés par des non-médecins permettent dores et déjà et permettront de plus en plus, d’effectuer dans le cadre de la télémédecine 3.0 des diagnostics à distance.
  • Le deuxième enjeu est en fait bien ailleurs : seul le médecin en tant qu’homme qui soigne un autre homme a le pouvoir de compassion que jamais n’aura la machine, même si on devait la programmer pour qu’elle délivre un discours compatissant. Il est évident que toucher l’épaule du patient, lui appliquer les mains sur le ventre, coller son visage contre le sien pour examiner ses tympans, sont des actes qui vont bien au-delà de la simple exploration diagnostique. Palper le corps du patient, c’est en prendre possession au sens symbolique, le considérer spatialement, circonscrire le champ de son action. Les patients le sentent bien qui se plaignent de ces médecins qui leur donnent des médicaments sans même les examiner. Françoise Loux [1], chargée de recherche au CNRS souligne cette nécessité du contact physique entre le soignant et le soigné dans le cadre de l’hôpital :  » […] la dimension spatiale devrait être prise en compte : les contacts corporels, l’abolition de la distance ou au contraire la soigneuse mise en scène de la visite du patron…Toute cela prend un sens exacerbé au moment de la maladie, quand le corps, comme autrefois, devient le centre de la vie. En tenir compte ne conduit-il pas à ce que le malade se reprenne en charge, ne considère plus son corps comme un objet manipulé par les autres et en même temps affectivement abandonné ? » . Examiner le corps du patient, c’est donner au « corps imaginaire » que le patient se représente (l’idée qu’il se fait de son foie, de ses artères, de son coeur, etc.) une réalité que ce dernier jugera en quelque sorte transcendante, c’est à dire un sens supérieur qui lui échappe mais qui prend ses racines dans son corps physique, et donc en, l’occurrence dans son corps souffrant. Par exemple le lien que le patient fait entre la colique néphrétique dont il souffre et le rein qui en est la cause n’est que purement conceptuel. Lorsque le médecin met en évidence une douleur précise sur le rein en le palpant, le patient fait alors le lien entre l’organe qu’il a imaginé et le rein que le médecin a palpé. Cette réalité nouvelle, c’est le « corps médicalisé », c’est à dire la réalité du corps vu par le médecin. Ne pas examiner le corps du patient, c’est refuser de donner à ce corps imaginaire une réalité médicale, et par conséquent nier une partie de la réalité de sa souffrance.
  • Le troisième enjeu est la préparation de l’acte thérapeutique.  Celui-ci repose sur des techniques, des médicaments, des interventions, mais aussi sur le fameux [effet placebo] évalué pour 30% par le corps médical dans l’efficacité thérapeutique. La prise en compte du corps du patient participe de l’idée que le patient se fait du pouvoir que le médecin a de le guérir. Ne plus examiner les patients, revient à diminuer l’efficacité du traitement mis en place.

Le jour où cette arme décisive héritée du fond des âges qu’est l’examen clinique, ne sera plus qu’un hochet inutile, la mascarade d’une relation empathique, et la perpétuation du rituel qu’il représente, ce jour-là les ponts seront définitivement coupés avec le patient pour qui il ne restera face aux machines désincarnées, que sa seule souffrance. Cette souffrance que le médecin ne saura plus prendre en charge car il aura renoncé à tout pouvoir de compassion.

Problématique 2 : Aider à améliorer la collaboration entre les différents praticiens (médecin, infirmiers, etc.)

Un espace pivot doté avec une intlligence pour aider les différents intervenants

Problématique 2 : Aider à améliorer les téléconsultations en collaboration avec

Le but de ce projet est de travailler  à distance et de mani

Plusieurs solutions de téléconsultation sont apparus   : le téléphone,  des applications de vision (zoom) , et des cabines médicales etc. Chaque solution présente des avantages et des inconvénients ; les cabine médicales exigent aux patients de se déplacer par rapport aux deux premières solutions.  pourquoi pas une solution informatique collaborative  permettant d’un infirmier de disposer d’un équipement aidant les malades a renseigner les les informations demandé par le médecin a distance en cas le malade ne dispose de matérielle suffisant ou des problèmes d’utilisation etc.

Professions médicales : 1.1 Médecin 1.2 Chirurgien-dentiste 1.3 Sage-femme

2 Professions de la pharmacie et de la physique médicale  : 2.1 Pharmacien 2.2 Préparateur en pharmacie 2.3 Physicien médical

3 Des auxiliaires médicaux aux ambulanciers : 3.1 Infirmier 3.2 Masseur-kinésithérapeute 3.3 Le pédicure-podologue 3.4 Ergothérapeute 3.5 Psychomotricien 3.6 Orthophoniste 3.7 Orthoptiste 3.8 Manipulateur en électroradiologie médicale 3.9 Technicien de laboratoire médical 3.10 Audioprothésiste 3.11 Opticien-lunetier 3.12 Prothésistes et orthésistes 3.13 Diététicien 3.14 Aide-soignant 3.15 Auxiliaire de puériculture 3.16 Ambulancier 3.17 Assistant dentaire

4 Professions assimilées à la santé  : 4.1 Professions enregistrées au répertoire ADELI 4.1.1 Psychologie 4.1.2 Social

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